Comprendre le volet écologique du plan de relance grâce au modèle IS-LM-EE

En 2021, le plan de relance français pour faire face à la crise du coronavirus pouvait être analysé à l’aune du modèle IS-LM en économie fermée. (1) Néanmoins une part notable de ce plan de relance était volontairement dédiée aux enjeux écologiques (2). Le plan de relance mis en place par le gouvernement avait deux objectifs principaux, à savoir relancer l’économie et permettre la transition écologique. Ce plan de relance diffère des précédents grâce à la prise en compte de la transition écologique. Il est indéniable que l’enjeu climatique et écologique est devenu l’une des priorités de l’action politique. On peut lire à propos du plan de relance : « le plan France Relance fait de la transition écologique un objectif stratégique en consacrant 30 milliards d’euros exclusivement aux investissements verts » (2).

Cependant, la façon de lutter contre le changement climatique mène à des choix différents. Il existe deux manières pour l’Etat d’encourager la décarbonation de l’économie – qui ne sont pas antagonistes. La première consiste à faire peser les « externalités négatives » directement sur les agents qui en sont responsables, soit faire payer les pollueurs. L’autre solution est d’encourager la mise en place de « technologies vertes » qui font diminuer le « contenu carbone » de la production. Autrement dit, des technologies qui permettent de produire en utilisant moins de ressources et/ou en émettant moins de gaz à effet de serre (GES). Le plan de relance français axe toute son action sur la seconde manière de faire au détriment de la première.

Il existe une extension du modèle IS-LM qui permet de prendre en compte la notion de soutenabilité. La soutenabilité est le fait d’avoir une croissance économique en adéquation avec les limites environnementales. Selon la définition donnée par le rapport Brundtland (3), la croissance soutenable est un « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs ». Ce modèle se nomme IS-LM-EE, il a été développé par Heyes en 2000 (4). Cependant, nous nous baserons sur l’interprétation du modèle par Philip A. Lawn (5) qui complète l’approche de Heyes.

Cette extension du modèle IS-LM s’avère très intéressante pour comprendre les enjeux climatiques et les problèmes liés à notre mode de production. D’autre part, grâce à l’ajout de la courbe EE, nous pouvons mieux comprendre la logique des mesures du plan de relance français visant à réduire notre impact sur notre environnement.

Comprendre le modèle IS-LM-EE

Comparé au modèle IS-LM de base, celui-ci intègre une nouvelle courbe intitulée EE- environmental equilibrium. Cette courbe symbolise l’ensemble des couples (Y,R) permettant d’avoir une croissance soutenable, c’est-à-dire tels que la production permet de maintenir  un stock de capital naturel constant. Ici, notre économie dispose d’un stock physique de capital naturel — noté N — qui se régénère à un taux donné — noté s. Pour produire, les entreprises doivent puiser dans ce capital (N). Ainsi, on peut dire qu’une production non-soutenable est la situation dans laquelle les entreprises prélèvent dans N une quantité supérieure à s×N. Dit autrement, les entreprises prennent plus à la nature que celle-ci ne peut donner sur une période donnée. La courbe de EE représente tous les couples (Y,R) qui permettent de garder un capital naturel constant. Mathématiquement, cela se traduit comme suit :

D’autre part, la courbe EE est une courbe dont l’allure est un peu plus complexe que celle de IS et de LM. Tout d’abord, elle est décroissante. D’autre part, à mesure que Y augmente, elle devient de plus en plus verticale. Cela s’explique par le fait que le coût marginal de la dépollution est supposé croissant. Plus la production est élevée, plus il faudra une forte baisse de R afin d’avoir un impact neutre sur le stock de capital. Le taux d’intérêt (R) incite ou non à la dépollution. Lorsque ce que celui-ci est élevé, il ne favorise pas la dépollution car elle est trop coûteuse. D’autre part, les gains de la dépollution sont décroissants. C’est-à-dire, qu’au fur et à mesure, il est plus difficile de trouver des technologies permettant de préserver le capital naturel. Ainsi, il faudra une plus forte baisse de R afin de favoriser l’investissement — qui sera plus coûteux — pour une dépollution moindre.

Cela permet d’énoncer qu’il existe une production soutenable maximale, ce qui constitue une grande avancée du point de vue de l’inclusion de la contrainte environnementale dans un modèle macroéconomique.

Maintenant, il nous faut voir comment la courbe EE change de position à l’intérieur du graphique. Nous supposons que la position de la courbe EE est déterminée par deux paramètres à savoir β et ɣ. 

Plus β est élevé, plus les institutions permettent de faire peser les coûts d’épuisement et de pollution sur les utilisateurs de la ressource et les pollueurs. Ainsi, les agents sont incités à moins polluer. Cela permet d’avoir un impact moindre sur le capital naturel. En ce qui concerne ɣ, ce paramètre retranscrit à quel point l’état du progrès technique permet d’économiser le capital naturel. Plus ɣ est élevé, moins les firmes polluent grâce à des technologies plus « vertes ». Lorsque β et ɣ augmentent, cela a pour effet de déplacer la courbe vers la droite en raison du choc positif sur la courbe EE car la production est plus soutenable.

Néanmoins, la courbe EE peut subir des chocs négatifs. Imaginons que la régénération du capital naturel soit inférieure à la quantité prélevée dans le capital naturel par les entreprises. Cela a pour conséquence de faire diminuer la quantité de capital naturel disponible. Ce fait se traduit graphiquement par une translation vers la gauche — qui représente un choc négatif — de la courbe EE. Si cette surproduction est répétée de nombreuses fois, cela peut s’avérer dramatique. À un moment donné, il ne sera plus possible de produire car le capital naturel sera égal à zéro. Ici, on assiste à un paradoxe : en pensant s’enrichir grâce à la production, en réalité on s’appauvrit. Ce modèle permet d’illustrer ce fameux adage énoncé par Kenneth E. Boulding : « Celui qui croit en une croissance infinie sur une planète finie et soit fou, soit économiste. ». On peut illustrer ce propos par un graphique.  

Lecture : sur ce graphique, on voit que la courbe EEt=1 représente la situation initiale. Ici, les entreprises prélèvent plus que ce que la nature peut permettre. Ainsi, petit à petit la courbe va se déplacer vers la gauche jusqu’à ce que la production maximale atteigne zéro. En t=3, il n’est plus possible de produire car il ne reste plus de N pour produire.

Comment l’action privée et publique peuvent parvenir à l’équilibre environnemental

Depuis le rapport Meadows « The Limits to Growth » (1972), les témoignages de l’impasse environnementale à laquelle mène nos modes de production se multiplient. L’empreinte écologique donne une illustration de cette impasse: elle mesure la surface de terre nécessaire pour fournir le capital naturel et absorber les déchets d’un individu, d’une collectivité, d’un territoire… Si la Terre entière avait la même production que l’Europe, l’empreinte écologique mondiale correspondrait à 3 fois la surface terrestre. Il faudrait donc 3 Terres pour permettre de contenter un monde rempli de consommateurs européens.

Lecture : Le graphique montre que l’Europe extrait toujours plus de ressources de la terre. En 2017, il fallait 3 terres entières si le monde entier avait la même consommation que l’Europe (6).

         De surcroît, la croissance économique est dépendante d’énergies fossiles. Le jour où ces ressources vont se tarir, si nos économies ne sont pas préparées, il est à craindre de graves troubles sociaux. On pourra rétorquer que les énergies renouvelables peuvent permettre de faire disparaître cette dépendance aux énergies fossiles. Cependant comme l’explique par exemple Jean-Marc Jancovici, la transition énergétique pose de nombreux problèmes, et la croissance économique ne semble pas compatible avec une diminution de la consommation énergétique (7)

Lecture : on remarque qu’il existe une corrélation linéaire entre l’énergie consommée et le P.I.B. Historiquement, plus de croissance a impliqué une consommation plus grande de ressources fossiles (pétrole, charbon, gaz) (8)

Ainsi, nos sociétés doivent avoir pour objectif d’arriver à mettre en place une croissance durable – en supposant que cela soit possible. Le modèle IS-LM-EE peut permettre de comprendre et de schématiser ce problème. Tout d’abord, partons d’un graphique qui illustre la situation d’une production insoutenable.

Lecture : ici le graphique représente une situation d’une économie insoutenable. La quantité produite est représentée par le croisement de la courbe IS et LM.  On voit clairement que la courbe EE est en dessous de l’équilibre. 

Ici, l’État peut influencer la courbe IS, LM et EE. Deux stratégies peuvent être envisagées pour rétablir l’équilibre. La première consiste à ramener l’intersection de la courbe IS et LM vers la courbe EE. Cette stratégie s’apparente à une logique de décroissance. Ce choix ne semble pas être la solution retenue. Ainsi Emmanuel Macron a reconnu lors d’une conférence que l’ « on doit remettre l’ambition écologique au cœur du modèle productif. [Mais] je crois à la croissance de notre économie » (9). La seconde est le raisonnement inverse, la stratégie consiste à faire converger la courbe EE à l’intersection de IS et LM. C’est-à-dire, favoriser les technologies « vertes » et l’action publique pour permettre de concilier la croissance et les enjeux environnementaux. Ces deux stratégies peuvent être menées en même temps afin de rétablir au plus vite un développement soutenable.

Comment l’État peut-il rétablir l’équilibre grâce à des politiques publiques ?

D’abord, évoquons la politique étatique à travers la courbe IS. Le premier choix radical qui s’offre à l’État est de réduire fortement les dépenses publiques. La courbe IS subira un choc négatif et permettra alors de moins produire et donc d’exercer une plus faible pression sur le capital naturel. Il semble que ce chemin est difficilement envisageable dans un monde où la croissance du Produit Intérieur Brut reste la principale boussole de l’action politique. Agir sur la courbe IS en réduisant la consommation des ménages via une hausse des impôts n’apparaît pas non plus à l’ordre du jour.

Diriez-vous qu’en matière économique, l’État devrait intervenir davantage, intervenir moins, intervenir autant qu’il le fait déjà ? (Résultat du 13-14 Oct. 2020)(10)
Intervenir davantage50 %
Intervenir moins18 %
Intervenir autant qu’il le fait déjà32 %
Total100 %

On peut en déduire que l’État ne passera pas par la courbe IS pour favoriser un développement soutenable. Il est dès lors obligé d’agir sur les deux autres courbes. 

La courbe LM semble de prime abord être une bonne candidate pour résoudre ce problème. Dans notre modèle (1), on a supposé que l’État choisissait la quantité de monnaie disponible dans l’économie. Pour rétablir l’équilibre macroéconomique, l’État doit réduire l’offre de monnaie afin de provoquer un choc négatif sur la courbe LM. En réduisant la quantité disponible de monnaie, cela aura pour effet d’augmenter le taux d’intérêt. Cela est néfaste, car la hausse du taux d’intérêt ne permet pas aux entreprises d’investir dans la transition écologique en raison du coût de l’emprunt. Au contraire, la Banque centrale européenne (B.C.E.) essaye de favoriser l’investissement « vert » en facilitant l’accès au crédit. La B.C.E. a ainsi racheté 20 % des « green bonds » (11).

Si l’État ne peut agir sur IS et LM, il est nécessairement obligé d’agir sur la courbe EE. Pour rétablir l’équilibre, elle doit permettre à la courbe EE de connaître des chocs positifs. Pour rappel, cette courbe est déterminée par deux paramètres β et ɣ. Ces deux paramètres sont les deux canaux permettant les chocs positifs nécessaires. On peut donc les augmenter afin d’atteindre notre objectif. Premièrement, concentrons-nous sur β. Pour rappel, β est le paramètre institutionnel permettant de déterminer dans quelle mesure les coûts d’épuisement et de pollution sont supportés par l’utilisateur de la ressource et le pollueur. On retrouve ici la logique du changement climatique comme externalité négative comme on la présente de façon classique en microéconomie: si l’on arrivait à faire « payer les pollueurs » par le biais d’une taxe par exemple, alors l’optimum social serait atteint. Pour comprendre en quoi faire payer les pollueurs s’avère en pratique  difficile à mettre en œuvre, j’encourage le lecteur à lire l’excellent article de Jérôme Pivard sur ce sujet (13).

Il semble que l’État dans son plan de relance (2), n’essaye pas d’augmenter β. Cependant, la convention citoyenne du climat a émis des propositions permettant d’accroître β. Ainsi, deux propositions de cette convention vont dans ce sens. La première a pour but d’obliger les entreprises à « ajouter un bilan carbone dans le bilan comptable de toutes les structures qui doivent produire un bilan ». La deuxième proposition est la suivante : « mieux prendre en compte les émissions de gaz à effet de serre liées aux importations dans les pollutions européennes ».  

Ainsi, la majorité du plan de relance a pour but d’agir sur ɣ. Pour rappel ɣ est le paramètre technologique permettant de saisir l’état du progrès technologique en matière d’économie des ressources et de réduction de la pollution. Une grande partie du plan de relance vise à favoriser le progrès technique. L’État veut que « les entreprises industrielles doivent faire évoluer leurs modes de production, qui repose aujourd’hui encore largement sur l’utilisation d’énergie fossile, vers un modèle bas carbone » (2) et prévoit de dépenser plus d’un milliard d’euros pour financer cette transition. Cette politique a pour but de réduire notre impact sur l’environnement via une diminution de notre consommation de ressources finies. Pour résumer toute cette partie, on peut schématiser cela par un graphique.

 Lecture : Le graphique résume le but de la politique. On voit que lorsque que la EE est en dessous de Y*, la production n’est pas soutenable. En déplaçant — grâce à la politique de l’Etat (dɣ>0) — la courbe au croisement de IS et LM, la croissance devient durable.

En conclusion, l’État a un rôle à jouer dans cette transition écologique, mais se limite à un seul levier d’action : le progrès technique, qui doit diminuer le contenu carbone de la production. Si le modèle IS-LM-EE s’avère être un outil assez pédagogique pour comprendre ces thématiques, il n’est pas exempt de tout défaut. La courbe LM est largement contestable. De surcroît, la notion d’équilibre est trompeuse à mon sens, et masque les dynamiques et déséquilibres qui caractérisent l’économie réelle. Enfin, il suffit de changer les hypothèses de départ pour arriver à des conclusions très pessimistes. Si on considère N comme donné une bonne fois pour toute, et ne se régénérant pas ou très lentement (ex : le pétrole), la courbe EE doit nécessairement subir des chocs négatifs jusqu’à atteindre le néant. On arrive à la conclusion, que la croissance économique n’est pas vertueuse car elle n’est pas infinie à cause de la quantité de N limitée.

Cependant, l’idée selon laquelle il est possible de faire une « croissance verte » apparait à mon sens comme un mirage, la production marchande étant toujours liée à une destruction de la nature. Toutefois ce sujet de la « croissance verte » est plus vaste et doit faire l’objet d’une réflexion propre.

Vincent Lhote

Note :

Pour comprendre l’objectif de cette politique, il faut repartir de la théorie micro-économique. En micro-économie, la pollution est vue comme une défaillance de marché car elle produit des externalités négatives. Ce concept de permis à polluer a été théorisé par l’économiste Ronald Coase. Pour lui la taxation des pratiques pollueuses ou la subvention des pratiques vertueuses ne sont pas optimales. Il pense que la destruction du capital naturel provient du fait que les ressources naturelles ne sont pas incluses dans un marché. Par exemple, l’eau ou le bois — il existe un énorme trafic de coupe illégale — ne sont pas des biens marchands. En d’autres termes, ils sont gratuits. Passons la démonstration mathématique, je laisse le lecteur averti lire un manuel de micro-économie traitant de ce sujet. 

Coase en arrive à affirmer que la mise en place de droits à polluer permet d’atteindre une situation optimale. Cette idée qui semble à première vue brillante possède en réalité de grandes failles. Si dans le monde de la mathématique, son raisonnement est pertinent, une fois passé au monde réel, la magie s’estompe. Il est indéniable que ce genre de politiques sont nécessaires mais ne sont pas suffisantes. Elles ne peuvent pas à elles seules résorber le problème. D’autre part, pour que cette politique réussisse réellement, il faut que l’État puisse connaître toutes les fonctions de coûts des entreprises. Inutile d’expliquer pourquoi cela est impossible à mettre en œuvre.

Sources :

(1)       Vhote V. 09/04/2021. « Comprendre le plan de relance français à travers le modèle IS-LM ». Accessible à : https://oeconomicus.fr/comprendre-le-plan-de-relance-francais-a-travers-le-modele-is-lm/

(2)       Ministère de l’économie, des finances et de la relance. 03/09/2020. Plan de relance.

(3)       Commission mondiale sur l’environnement et le développement de l’Organisation des Nations unies. 1987. Our common future.

(4)       Heyes, A. 01/01/2000. “ A proposal for the greening of textbook macro : ‘IS-LM-EE.’ ”. Ecological Economics. Vol. 32, No. 1, Page 17

(5)       Lawn, P. 23/12/2002. “ On Heyes’ IS-LM-EE proposal to establish an environmental macroeconomics “. Environment and development economics. Vol. 8, No. 1, Pages 31-56.

(6)       Global footprint network. 2021. “ Country Tends ”. Accessible à : https://data.footprintnetwork.org/#/countryTrends?type=BCtot,EFCtot&cn=2002 [consulté le 03/04/2021]

(7)       Jancovici, J-M. 2015. Dormez tranquilles jusqu’en 2100. Ed. Odile Jacob.

(8)       Jean-Marc Jancovici. 01/08/2011. « L’énergie, de quoi s’agit-il exactement ? ». Accessible à : https://jancovici.com/transition-energetique/l-energie-et-nous/lenergie-de-quoi-sagit-il-exactement/ [07/05/2021]

(9)       Le Point. 30/06/2020. « Macron affiche son ‹ ambition écologique › face à la Convention climat ». Accessible à : https://www.lepoint.fr/politique/macron-affiche-son-ambition-ecologique-face-a-la-convention-climat-29-06-2020-2382252_20.php [07/05/2021]

(10)       IFOP. 10/2020. Les français et le libéralisme – Vague 5. Page 16.

(11)       Banque centrale européenne. 05/06/2020. « Entretien accordé par Christine Lagarde, Présidente de la BCE, à Léa Salamé et Thomas Sotto, diffusé le 4 juin 2020 ». Accessible à : https://www.ecb.europa.eu/press/inter/date/2020/html/ecb.in200605~6fbb422834.fr.html [07/05/2021]

(12)       La Tribune. 08/12/2017. « Qu’est-ce qu’un green bond ? ». Accessible à : https://www.latribune.fr/entreprises-finance/banques-finance/qu-est-ce-qu-un-green-bond-760714.html [07/05/2021]

(13)       Pivard J. 07/05/2021. « L’impossible mise en place d’une taxe carbone juste et efficace ? ». Accessible à : https://oeconomicus.fr/limpossible-mise-en-place-dune-taxe-carbone-juste-et-efficace/?fbclid=IwAR2Xf-TqifriWP-LmN-h3S2OFvYob_IgfeX4OfyCmamWAuxAmNBneLhWp4

(14)       France-Guyane. 04/05/2021. « Décrié, le projet de loi climat au vote à l’Assemblée ». Accessible à : https://www.franceguyane.fr/actualite/france/decrie-le-projet-de-loi-climat-au-vote-a-l-assemblee-482794.php [07/05/2021]

(15) Friends of the Earth. 14/07/2020. « Policies for green and fair recovery plans across the UK ». Accessible à : https://policy.friendsoftheearth.uk/policy-positions/policies-green-and-fair-recovery-plans-across-uk [07/05/2021]

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